Les meubles, un danger pour les enfants

Dans nos maisons, on possède de plus en plus de mobilier pour aménager sa maison. En général, ce mobilier vous a été donner ou vous l’avez acheté ou éventuellement trouvé ou troqué. Cette addition de formes et de volumes peut poser un problème dans votre vie quotidienne.

 En effet, on peut facilement constater que ces meubles peuvent représenter un danger pour les enfants.

On compte en France de nombreux accidents domestiques de chutes de meubles sur des enfants. Les meubles hauts comme les bibliothèques ou les meubles de séjour ou de chambre sont les premiers concernés. Les enfants ne peuvent s’empêcher de s’accrocher et donc le risque est grand.

 Un autre danger identifié est la présence de coin de meubles à hauteur des enfants. Si ces coins sont saillants, ils représentent un danger réel.

Mais qu’elles sont les solutions ?

 Le principe premier est de prévenir. Ainsi, on peut fixer les meubles aux murs avec des fixations adaptées. Mais le plus souvent les meubles ne le permettent pas. La matière n’est pas adaptée à un perçage ou l’espace nécessaire pour installer une cornière est insuffisant.

 Sur l’aspect des coins, les solutions proposées sur le marché ne sont pas très qualitatives et ne restent pas souvent en place pour assurer une sécurité dans le temps.

La solution qui me vient alors à l’esprit est d’investir dans des meubles sur mesure afin d’anticiper tous ces éléments pour la sécurité. La conception du mobilier pourra ainsi intégrer des solutions de fixations ou des coins à bouts ronds.

Il existe de nombreux prestataires fabricants en région. Je vous conseille de privilégier les fabricants indépendants. Dans ma région de Nantes, j’ai déjà fait appel à la société Rangeocean pour un meuble de séjour qui avait été fabriqué pour que mes enfants soient en sécurité. La fabrication et l’échange avec le conseiller avait été bien orienté pour que l’ergonomie du meuble anticipe les dangers potentiels.

 Il est vrai que cette solution est budgétairement plus onéreuse mais je pense que la sécurité de nos enfants n’a pas de prix.

Et pour conclure, rien ne vaut l’adage : Il vaut mieux prévenir que guérir.